Pomm’Poire ouvre sa 1ère boutique physique à Tours

Auteur :

Anne-Sophie Savenier

Publié le
27 oct. 2015

Après des débuts sur les chapeaux de roue en ligne via son e-shop et les plates-formes e-commerce (La Redoute, Zalando ou encore Amazon), puis une arrivée remarquée en boutiques indépendantes multimarques en 2014, Pomm’Poire passe à la vitesse supérieure en s’offrant un premier point de vente physique à Tours, au 30 rue Nationale.

Le site de vente en ligne lancé début 2013 par Anne Montaye, qui a fait ses armes dans le marketing, présentera donc sur plus de 50 m2 l’ensemble de son offre, soit 850 références, parmi lesquelles des soutiens-gorge basiques, mode ou glamour, de la lingerie mariage, des nuisettes, des pyjamas ainsi qu’une collection dédiée à l’allaitement et une autre au sport, toutes disponibles du 75A au 115G.

Côté prix, la marque basée à Lille maintient son positionnement compétitif, avec des parures vendues en fourchette haute à 35 euros.

« Je tiens à proposer à mes clientes un rapport qualité/style/prix canon, explique la fondatrice de la marque. Cela est rendu possible par la maîtrise totale de la chaîne de production : les modèles sont dessinés et modélisés en France, près de Lille où 30 collaborateurs travaillent à la conception des produits à l’atelier. Les collections sont ensuite produites auprès de partenaires industriels situés dans le monde entier. »  

Forte de cette première ouverture et d’une belle croissance depuis son lancement, Pomm’Poire entend aujourd’hui développer son réseau de boutiques à l’enseigne via des ouvertures en commission-affiliation en France comme à l’international. Deux ouvertures de boutiques sont d'ailleurs en cours de discussion.

En outre, elle prévoit également de multiplier les boutiques éphémères afin d’aller à la rencontre de ses clients.

Pomm’Poire, qui a pour objectif de devenir l’un des cinq leaders e-commerce du marché français de la lingerie, enregistre plus de 35 000 clients et dispose aujourd’hui d’une trentaine de clients multimarques.

Avec un chiffre d’affaires estimé à 900 000 euros en 2014, la jeune marque de lingerie espère parvenir à être rentable en moins de trois ans en s’autofinançant.